Le Croulant allongé sur le sol, au pied de sa jument, tressaille dans son sommeil : il rêve. Et étrangement, dans son rêve …
*Il court … il court dans une grande prairie verte, mer verte ondulant ses monticules. Il est tout nu, et l’herbe craquante est douce sous ses pieds, le vent frais et vivifiant lui fouette le torse : ses bijoux de famille balancent de droite à gauche au rythme de sa course. Son vieux corps tout ridé, pris par la course, penché en avant, est entrainé par ses bras tendus dans une direction bien précise.
Au loin devant lui, Blondinette.
Elle aussi, pieds nus dans l’herbe verte, court. Ses longs cheveux blonds flottent dans le vent, lui apportant son parfum sensuel. Ses fesses et ses seins rebondissent en rythme de sa course et d’un mouvement de tête rapide, elle se retourne pour voir où en est le Croulant, qui lui semble à chaque seconde paraître de plus en plus éloigné. Cela la fait rire de le voir si loin.
Elle l’a bien semé, et pourtant il semble increvable tant il braille comme un putois : Bloooooondinetteuuuuuuh.
Comme prise de pitié, elle arrête de courir et commence à marcher à l’envers, en lui souriant et en lui faisant de grands signes de la main. Puis elle commence à se caresser, ses mains se baladent sur ses hanches, passent sur son ventre tout soyeux et remontent malaxer ses seins, se pinçant légèrement le bout des tétons et elle se met à gémir tout doucement.
Au loin, le Croulant à bout de souffle, commence à regagner du terrain, encore plus excité par l’invitation de sa cruella. Ses yeux ne peuvent se détacher de ses mains baladeuses, il commence à ne plus pouvoir respirer tant il bave, laissant le vent emporter ses filets de salive, les poumons en feu, il grimpe avec férocité le dernier monticule en haut duquel sa blondinette l’attend en gémissant de ses caresses.
Le cœur prêt à rompre, il n’est enfin plus qu’à quelques mètres, elle se met alors à pousser des petits cris d’excitation, et hypnotisé par sa fraîche beauté, prêt à la tripoter avec ardeur il se rue sur elle et …*
Le Croulant se réveille en sursaut, tout en sueur, le cœur battant la chamade, sa bite aussi raide que celle d’un cerf en rut. Il entend encore les mêmes gémissements résonner dans la nuit, encore et encore. Sauf qu’ils proviennent de la tente du Kapitaine cette fois-ci.
Il se réveille tout à fait, se tâte le membre, et l’œil mauvais, regarde sa jument.
Gnéhéhé, reste sage toi, je n’vais pas t’faire de mal … vient voir tonton Croulant mwéhéhéhé
*Il court … il court dans une grande prairie verte, mer verte ondulant ses monticules. Il est tout nu, et l’herbe craquante est douce sous ses pieds, le vent frais et vivifiant lui fouette le torse : ses bijoux de famille balancent de droite à gauche au rythme de sa course. Son vieux corps tout ridé, pris par la course, penché en avant, est entrainé par ses bras tendus dans une direction bien précise.
Au loin devant lui, Blondinette.
Elle aussi, pieds nus dans l’herbe verte, court. Ses longs cheveux blonds flottent dans le vent, lui apportant son parfum sensuel. Ses fesses et ses seins rebondissent en rythme de sa course et d’un mouvement de tête rapide, elle se retourne pour voir où en est le Croulant, qui lui semble à chaque seconde paraître de plus en plus éloigné. Cela la fait rire de le voir si loin.
Elle l’a bien semé, et pourtant il semble increvable tant il braille comme un putois : Bloooooondinetteuuuuuuh.
Comme prise de pitié, elle arrête de courir et commence à marcher à l’envers, en lui souriant et en lui faisant de grands signes de la main. Puis elle commence à se caresser, ses mains se baladent sur ses hanches, passent sur son ventre tout soyeux et remontent malaxer ses seins, se pinçant légèrement le bout des tétons et elle se met à gémir tout doucement.
Au loin, le Croulant à bout de souffle, commence à regagner du terrain, encore plus excité par l’invitation de sa cruella. Ses yeux ne peuvent se détacher de ses mains baladeuses, il commence à ne plus pouvoir respirer tant il bave, laissant le vent emporter ses filets de salive, les poumons en feu, il grimpe avec férocité le dernier monticule en haut duquel sa blondinette l’attend en gémissant de ses caresses.
Le cœur prêt à rompre, il n’est enfin plus qu’à quelques mètres, elle se met alors à pousser des petits cris d’excitation, et hypnotisé par sa fraîche beauté, prêt à la tripoter avec ardeur il se rue sur elle et …*
Le Croulant se réveille en sursaut, tout en sueur, le cœur battant la chamade, sa bite aussi raide que celle d’un cerf en rut. Il entend encore les mêmes gémissements résonner dans la nuit, encore et encore. Sauf qu’ils proviennent de la tente du Kapitaine cette fois-ci.
Il se réveille tout à fait, se tâte le membre, et l’œil mauvais, regarde sa jument.
Gnéhéhé, reste sage toi, je n’vais pas t’faire de mal … vient voir tonton Croulant mwéhéhéhé