Un pas devant l’autre. Du sable à perte de vue et de raisons.
Une apparition hirsute, la peau brûlée, avançait étrangement détendue. Un sourire mystérieux aux lèvres, fredonnant une chanson.
Pour accepter son destin, la folie est la seule solution.
« There must be some kind a way out of here, said the joker to the thief, there’s too much confusion, I can’t get no relief, Businessman drink my wine, plowman dig my earth, None will level on the line, nobody offered his word, hey “
Fun, était partie si vite. Sans même lui adresser la parole.
Le Mat avait été réveillé tôt ce matin par des coups de feu. La bouffonne avait essayé de tuer Josume et avait fuit ricanant dans le désert.
Jo l’avait suivit en pestant, laissant le rouquin seul à son sort entre deux dunes.
Au loin les deux silhouette s’était évanouis, mais Le Mat avait commencé à sourire lorsqu’il avait vu que Fun menait la danse.
Depuis ce matin, il marchait donc, cette chanson d’un poète pré-crash lui était revenue, et les paroles semblaient prendre tout leur sens à la lumière de son existence actuelle.
La chanson était pour Le Mat le dialogue muet et fantasmé qu’il aurait aimé avoir avec Fun Gargari.
Cette incarnation de la folie, qui n’en faisait qu’à sa tête de Janus féminin.
Le « Joker » et le « Thief » mmmh être utiliser ou bien utiliser les autres… voilà une courte mais profonde leçon que lui avait enseigné, malgré elle, l’arlequine.
« No reason to get excited, the thief, he kindly spoke. There are many here among us, who fell that life is but a joke. But you and I, we’ve been throught that and this is not our fate, so let us not talk falsely now, the hour is getting late”.
Voici une belle réponse qui restera lettre morte… Et le clochard céleste après avoir regardé Azurria tombée, Le MAN se déliter et se dissoudre dans le sable, voyait à présent le Soleil Noir, fondre sous la chaleur de ses propres rayons.
« All along the watchtower, Princes kept the view, while all the women came and went, barefoot servant, too. »
Le Grand Chemin n’avait montré que discorde, mort et misère au chercheur de Sapience… Mais il se disait qu’il n’était pas seul pour être le témoin de cela… Il y avait le Serrurier maintenant.
Si l’on observait les évènements du point du vu de ce soudard au visage rongé par le vent, l’ancien de la MAN avait été présent lui aussi à chacun des évènements tragiques qui avaient parsemé leur errance à lui et au Mat.
Les « princes » du désert, cette image fit glousser Le Mat.
« Outside in the cold distance, a wildcat did growl, two riders were approaching, and the wind began to howl”.
Un coyote fut le seul témoin de cette marche incongrue, d’un rouquin à la peau pâle, le reste du monde était plus fou que lui, et il était curieux de le rencontrer.
Cette vision surréaliste atteignit son petit paroxysme, lorsque l’indien apparu sur son cheval. Droit comme un i.
A ce visage impassible, Le Mat répondit par un petit rire.
Le Chemin n’était pas encore terminé. L’Arcane sans numéros, était curieux de savoir si Kocheese était protégé contre les gens maudit.
« Salut Hugh, Salut ! » petit rire
Une apparition hirsute, la peau brûlée, avançait étrangement détendue. Un sourire mystérieux aux lèvres, fredonnant une chanson.
Pour accepter son destin, la folie est la seule solution.
« There must be some kind a way out of here, said the joker to the thief, there’s too much confusion, I can’t get no relief, Businessman drink my wine, plowman dig my earth, None will level on the line, nobody offered his word, hey “
Fun, était partie si vite. Sans même lui adresser la parole.
Le Mat avait été réveillé tôt ce matin par des coups de feu. La bouffonne avait essayé de tuer Josume et avait fuit ricanant dans le désert.
Jo l’avait suivit en pestant, laissant le rouquin seul à son sort entre deux dunes.
Au loin les deux silhouette s’était évanouis, mais Le Mat avait commencé à sourire lorsqu’il avait vu que Fun menait la danse.
Depuis ce matin, il marchait donc, cette chanson d’un poète pré-crash lui était revenue, et les paroles semblaient prendre tout leur sens à la lumière de son existence actuelle.
La chanson était pour Le Mat le dialogue muet et fantasmé qu’il aurait aimé avoir avec Fun Gargari.
Cette incarnation de la folie, qui n’en faisait qu’à sa tête de Janus féminin.
Le « Joker » et le « Thief » mmmh être utiliser ou bien utiliser les autres… voilà une courte mais profonde leçon que lui avait enseigné, malgré elle, l’arlequine.
« No reason to get excited, the thief, he kindly spoke. There are many here among us, who fell that life is but a joke. But you and I, we’ve been throught that and this is not our fate, so let us not talk falsely now, the hour is getting late”.
Voici une belle réponse qui restera lettre morte… Et le clochard céleste après avoir regardé Azurria tombée, Le MAN se déliter et se dissoudre dans le sable, voyait à présent le Soleil Noir, fondre sous la chaleur de ses propres rayons.
« All along the watchtower, Princes kept the view, while all the women came and went, barefoot servant, too. »
Le Grand Chemin n’avait montré que discorde, mort et misère au chercheur de Sapience… Mais il se disait qu’il n’était pas seul pour être le témoin de cela… Il y avait le Serrurier maintenant.
Si l’on observait les évènements du point du vu de ce soudard au visage rongé par le vent, l’ancien de la MAN avait été présent lui aussi à chacun des évènements tragiques qui avaient parsemé leur errance à lui et au Mat.
Les « princes » du désert, cette image fit glousser Le Mat.
« Outside in the cold distance, a wildcat did growl, two riders were approaching, and the wind began to howl”.
Un coyote fut le seul témoin de cette marche incongrue, d’un rouquin à la peau pâle, le reste du monde était plus fou que lui, et il était curieux de le rencontrer.
Cette vision surréaliste atteignit son petit paroxysme, lorsque l’indien apparu sur son cheval. Droit comme un i.
A ce visage impassible, Le Mat répondit par un petit rire.
Le Chemin n’était pas encore terminé. L’Arcane sans numéros, était curieux de savoir si Kocheese était protégé contre les gens maudit.
« Salut Hugh, Salut ! » petit rire