Sous les chauds rayons de la lune...

La nuit est tombée sur le campement du Soleil Noir. Tout le monde est rassemblé pour une fois. Les gardes se font par deux ce soir. Nexis et Veija sont de quart. Elles savent, l'une et l'autre, l'attachement physique qui les lient au Capitaine. Elles ont chacune leur tour, senti l'odeur de l'autre en s'abandonnant dans les bras de Telkran.
Aussi, au autour de ce feu qui les réchauffe, il est le sujet de conversation.

Elles parlent, elles boivent un peu. Elles rient beaucoup aussi. Visiblement, il n'est nullement question de jalousie. Tout y passe. Les attentions, les demandes....les gabarits.
La chaleur de sa peau, la tiédeur de son haleine, le contact rugueux de ses joues mal rasées. Son torse glabre, les effluves de mâle en plein possession de ses moyens.
Sa vigueur au combat, son endurance dans la bataille...
Les langues se délient et les cœurs se réchauffent.

Un verre après l'autre, le rapprochement s'opère, doucement, devant la danse des flammes de l'âtre.


Tu l'as déjà fait, toi?

Tiraillé par la soif joakhim se leva dans la nuit, aillant oublié ses bouteilles sur sa jument, il sortit de sa tente de fortune et evitant les diverse flaque d'eau croupie du marais dans lequelle ils aivaient elu domicile pour un temps il se dirigea vers les racines par lequelle etait attaché les chevaux. il marchait silencieusement pour evité de reveiller ses camarades qui meritait tous une bonne nuit de sommeil, lui aussi la merité mais ce n'est pas une vrai nuit s'il n'y a pas trois gramme dans le sang.

il voyais un peut a lecart les filles du groupe, occupaient a discuter durant leur quart, il n'entendais que des chuchotement vague, le bruit de l'eau dans le vent et les diverse grenouilles et autres bestiolles couvrant la plupart de leur parole. il ne preta pas plus d'importance a leur tagiversation, pour l'instant , encore dans le brouillard du debut de son sommeil, il ne pensais qu'a sa bouteille.

il commenca a boire en retournant sur ses pas, et jetant un coup d'oeil au femmes, il les vis s'etre raprocher, chuchotant plus doucement encore, se touchant legerement, elles paraissaient intimes.

il resta la un moment, a moitier accroupie,a regarder ses femmes, dans la nuit allais, lui motiver a de beaux reves, et la n'en croyant pas ses yeux, elles s'embrassaient, doucement, puis un peu plus fougeusement, il se dit qu'il revais encore, mais non, ils avait bien le cul humide des marais, ses pied barbotant dans la boue.

il se cachat discretement dans une touffe d' herbe, les regardant se caresser et s'embrasser dans se doux claire de lune...
puis dans sa tete il pensa:
"rahhh les cochonnes, elles savent se rechauffer dans se froid de fin d'hiver...haaa s'il pouvait voir ça les autres, bon dieu de sa mere, qu'il serait comptant, a croire que s'taper les bon dieu d'homme de notre belle troupe de bras cassé les suffise plus a ses vin'diou chagatte en rute..."

Affalé de tout son long sur sa couche, Telkran dort... Son esprit s'évade en sombres rêveries, alors que son corps reste attentif à ce qui l'entoure.
Il l'alerte soudain d'un bruit, d'une présence inattendue à coté de lui. Son attention se porte alors sur de petits gloussements qu'il n'arrive pas à identifier, mais qui lui annoncent la présence d'une autre personne dans sa tente.
Secoué violemment comme par une décharge électrique, Telkran se redresse brusquement, son SIG à la main.

Le sang lui bat les tempes alors qu'il stoppe son geste de justesse... Ses silhouettes lui sont familieres...
Sa vision s'ajuste dans le noir,... et pourtant il n'en croit pas ses yeux...

La mine défaite par un reveil brusque, l'esprit encore embrumé par le sommeil, Telkran se laisse retomber lourdement sur ses coudes. De sa main tenant l'arme, il libere le pouce et l'index pour se frotter les yeux.

Mais la vision est toujours la meme.

Les yeux ronds, l'air ahuri, il fixe Veija et Nexis s'embrassant à pleine bouche, langoureuses et suggestives.

- Il est vraiment tout tendu, tu ne trouves pas ?
- On va le déstresser un peu.

Telkran hausse un sourcil, tout en laissant se dessiner sur ses levres un large sourire en coin.

ahh....

Les filles...

D'un geste las il étire sa nuque en basculant la tete en arriere ;
La nuit s'annonce exceptionnellement bien....

D'un mouvement nonchalant il attrape la bouteille de whisky à ses pieds, ainsi qu'un pétard à moitié fumé. Il le porte à sa bouche et l'allume laissant échapper de grosses volutes de fumée, tandis qu'il se met à l'aise.
Doucement il glisse son bras libre sous sa tete pour la caler, et replie une jambe, pour s'installer confortablement.
Lentement, sa main porte à sa bouche tantot le mégot fumant, tantot le goulot de sa bouteille, tandis que ses yeux se délectent du délicieux spectacle qui s'offre à lui.

Houuu pour sur le vieux morceau qu'est joakhim c'était bien caché, meme pas les fille l'avait remarquer, alors qu'il était cacher dans son bosquet , une trique comme ça fait longtemps qu'il n'en avait plus eu...

Quand elles se leverent, le vieu Jo s'allongeat de tout son long, tel un jaguard, il les regarda partir vers une tente, pis pas n'importe la quelle , celle du captain, en dirais qu'il allait avoir une nuit bien difficil le pov' bougre, a devoir cravacher les deux donzelle...

Faut avouer avant ça le vieux l'avait jamais été trop jaloux de ses bon dieu d'amis qui rabotait et qui crapahuté jambe dessus bras dessous, mais la bon dieu d'bon soir, deux femmes,
il s'entit son pov' coeur le serré alors pour se consolé il allait pas en raté une miette.

-pensat-il: " crenon vin diou, faut j'me glisse tout felinement pres de c'te tente, et que j't'en vait te reluquer moi mes mignonne haha pas raison hein pis ça fait pas d'mal"

Apres une bonne razade de rhum, il se mis alors doucement a ramper vers la tente du bon vieux captaine, et cherhca dans la clarté de la lune, une zone assé trouer pour qu'il puisse voire bien comme il faut se spectacle qui lui rappelerais les bon vieux cinema cochon de chatelet durant ses escales a la capitale...

il trouva son bonheur, a l'arriere de la tente, in voyais bien comme qui faut tout l'espace interieur, et la a quelques 30aine de centimetre de la tete du capitaine il voyait la silhouette des deux deesse qui peuplais leur troupe...
-" hannnn bon dieu de sacre marie la pute de chagatte purulente, j'vais tressaire en deux deux si elle continue comme ça, s'ti pas humain des corp comme ça : pensat-il alors que la bosse a l'intereur de son futal rapiecé comme c'est pas possible le genais de plus en plus pour rester allonger....

Un sourire sans fin s'étirait sur le visage rond de veija. Et ses yeux brillaient d'une lubricité extrême quand Nexis posa ses lèvres sur les siennes.

Tendu...trooop tendu capitaine...
Faut pas être tendu comme ça...enfin, pas partout...

Ses mains se posèrent sur la chemise de son amie, au niveau des épaules. Et descendant doucement, elles frôlaient la poitrine de la frêle demoiselle, pour faire sauter, un à un, les boutons.
A chaque centimètre de peau découverte une caresse, et un regard vers son Capitaine. Vers leur Capitaine pour être précis.
Ses lèvres embrassaient maintenant à son tour la nuque de Nexis, pour descendre, lentement, le long de ses épaules. Le gout salé de sa peau augurait d'heures de plaisir intenses, tous les trois. Et sa bouche goutait à des endroits interdits. L'aréole rosée de la pirate était sienne, et c'était une palette de couleur que sa langue faisait naitre sur cette poitrine si douce.
Rouges lèvres, rose aréole, langue fuchsia. Le téton commençait à pointer. Les regards vers le Capitaine à devenir plus insistants.

Veija abandonna quelques instants la douceur de la peau diaphane. Et elle se mis à danser. Malgré ses rondeurs, elle avait une agilité féline, une grâce certaine.
Elle ondulait, comme ondulent des volutes de fumée. Elle se dirigeait vers telkran, souriant, le doigt sur la bouche, lui intimant le silence. Elle attrapa un bout de carton, et se mit à griffonner quelques mots, tout en dansant.

On pouvait y lire: "intrus"

Elle le montra à telk', et le retourna, griffonnant à nouveau. Veija saisit l'arme de telk', et bloqua ce bout de papier au bout du canon...canon qu'elle glissa dans les trous de la toile de tente.
L'arme s'arrêta contre un corps/ un organe souple, proéminent. Un nez, sans doute.
L'intru eu un moment de recul, et se retrouva sur les fesses.

le papier, à quelques centimètres de son nez lui indiquait:

mhhhh ça commencais a devenir chaud bouillant dans la tente, Jo était empris d'une crampe tel qu'il detourna son regard quelques seconde, une minute tous au plus pour deboutoner son pantalon, quand il remis son regard vers le trou de la tente, il topmba nez a nez avec un bout de carton, sur lequel était griffoner un ordre, et deriere ce carton le canon d'un luger et derriere le conon, un autre conon mais pas de la meme espece , bien plus effrayant quand il devait l'etre.

le temps de comprendre et le v'la t'y pas le cul par terre surpris de s'etre fait surprendre.

comprenant qu'il était de trop, pourtant le compte était bon, deux plus deux, il due a grande tristesse se retirer et obeir a l'ordre, laissant les jeune gens a leur fougasserie...il se recula en gromelant divers mot et injure...

-" grmmllll deu diou deu diou, gmmmrrrlllmmrrrr de saloperie de ceinture de grummllllrrrr de vint dieu de chagatte a poil ras, de bon dieu de saloperie de grlllmmlmlmlmmmm gene pas grllmlmlmlm de jeunes grlmlmlrrlrlggrlmlmlm qu'as s'etouffer avec c'est bondieu de sacrebleu de verue de residue d'amibe de chiotte de varech puante de pute a trois franc......."