Drole d'arrivée pour ces 2 survivants qui ont traversé presque tout le continent Nord. Drole d'accueil pour ces 2 énergumènes loufoques, si loin des archétypes de base que l'on trouve ordinairement dans le désert.
La fraternité n'est pas à la fête, tout au contraire. Le Serru et le Mat naviguent au milieu d'un équipage dévasté par la douleur de la perte.
Telkran ne leur porte aucune attention. Aucun regard. Aucune parole. Le capitaine reste muré dans son silence. Semblant meme jusqu'à ignorer leur présence.
Pourtant un jour, qui semblait commencer sur la même lourdeur que les précédents, Telkran se dirige vers le MAt et le Serru. Tous deux à l'écart du reste de groupe, semblent peut etre s'interroger sur la raison de leur présence ici.
Sa mine défaite et son apparence dépenaillée, attestent d'une aggravation de son état.
Pourtant c'est d'un pas sûr qu'il s'avance vers eux, et d'une voix posée qu'il les interpelle.
Le Mat,
Le Serru,
Vous nous rejoignez en de drôles de circonstance.
Le regard vitreux se fait plus plus sombre et plus glacial, la voix plus seche :
Il semble que partout où vous passiez la mort vous suive de près.
Ne seriez vous pas maudits?
Reprenant plus calmement :
Mon second... Cornelius... croyait en vous deux et en votre intégration dans notre fraternité.
C'est grâce à lui que vous êtes là, bien vivants aujourd'hui.
Et voilà que la place se libère pour vous deux dans notre groupe, puisque nous perdons deux freres....
Sa machoire se crispe, mais son regards s'adoucit. Lentement il finit par leur tendre la main.
Peut etre en gagnerons nous deux nouveaux?
La fraternité n'est pas à la fête, tout au contraire. Le Serru et le Mat naviguent au milieu d'un équipage dévasté par la douleur de la perte.
Telkran ne leur porte aucune attention. Aucun regard. Aucune parole. Le capitaine reste muré dans son silence. Semblant meme jusqu'à ignorer leur présence.
Pourtant un jour, qui semblait commencer sur la même lourdeur que les précédents, Telkran se dirige vers le MAt et le Serru. Tous deux à l'écart du reste de groupe, semblent peut etre s'interroger sur la raison de leur présence ici.
Sa mine défaite et son apparence dépenaillée, attestent d'une aggravation de son état.
Pourtant c'est d'un pas sûr qu'il s'avance vers eux, et d'une voix posée qu'il les interpelle.
Le Mat,
Le Serru,
Vous nous rejoignez en de drôles de circonstance.
Le regard vitreux se fait plus plus sombre et plus glacial, la voix plus seche :
Il semble que partout où vous passiez la mort vous suive de près.
Ne seriez vous pas maudits?
Reprenant plus calmement :
Mon second... Cornelius... croyait en vous deux et en votre intégration dans notre fraternité.
C'est grâce à lui que vous êtes là, bien vivants aujourd'hui.
Et voilà que la place se libère pour vous deux dans notre groupe, puisque nous perdons deux freres....
Sa machoire se crispe, mais son regards s'adoucit. Lentement il finit par leur tendre la main.
Peut etre en gagnerons nous deux nouveaux?